Tuesday, December 27, 2005

Merry Christmas

Cette année fut un noêl des plus particluliers pour moi. Une partie de la famille manquante, pas de soeurs, de beaux frères et pas de nièces pour animer la soirée et mettre un peu de joie durant ce soir d'habitude si magique et tant attendu. Ce noel était déprimant et étrange...Pas de cadeaux à offrir donc pas à emballer, un repas simple avec des gens que j'ai l'habitude de voir, presque un repas normal en fait...Ça m'a fait vraiment bizarre d'être si triste un soir de noêl.
C'est mon premier noêl de ce style et même si mes cadeaux ont été merveilleux et nombreux je les avaient, pour la plus part, tous reçu avant, ce qui rendait la soirée encore plus " quelconque".
J'éspère bien ne plus jamais à avoir à ressentir une ci desagréable sensation un soir de noël.

Et vous c'était comment ?

Même si mon noêl de cette année n'a pas été des plus joyeux ( je vous épargnerai des details) voila une photo de moi prise le soir même...

( cliquer pour agrandir)


Au cas où je n'écrive plus d'ici là, je vous souhaite à tous un
Happy new year !!!


Monday, December 26, 2005

Coco Mademoiselle CHANEL , mon parfum

Mon amour pour le parfum est grand depuis des années, c'est une chose dont je ne saurais me passer, tout comme on ne saurait se passer de boire pour vivre, porter du parfum est devenu presque vital avec le temps...
Coco Mademoiselle, de tous les parfums qui m'accompagnent depuis l'enfance, est celui qui me corresponds le mieux et que j'apprecie le plus sous tout ses aspects.
Chanel, une marque prestigieuse que j'aime, le flacon, simple en apparences mais tellement sublime lorqu'il est bien regardé et cette senteur.... unique.
Par sa légéreté, il est conseillé de ne le porter qu'en été, c'est pour quoi, quand les beaux jours rennaissent, cette precieuse senteur m'entoure à nouveau...


COCO MADEMOISELLE : Un destin hors du commun

Oriental-frais, un accord fleuri jasminé-rosé, aérien comme un pétale.
Frais et sensuel, un parfum sexy et raffiné, composée avec une modernité absolue.
COCO MADEMOISELLE incarne toute la modernité de l’esprit de Mademoiselle CHANEL. Audacieuse et déterminée, elle démontra que l’élégance peut être dans la simplicité, le luxe dans la pureté. Sa farouche indépendance ne l’empêcha pas d’être une séductrice qui fascina les hommes. Des valeurs toujours chères aux femmes du XXI ème siècle que CHANEL réaffirme dans COCO MADEMOISELLE.

L’histoire de COCO MADEMOISELLE

À celle qui conseillait "Vaporisez sur tous les endroits où vous risquez d'être embrassée", Jacques Polge, le Nez de Chanel, rend aujourd'hui un vibrant hommage. Il a souhaité mettre en lumière, au travers du prisme du parfum, différentes facettes de la personnalité de Gabrielle Chanel. Si COCO exprime toute la sensualité baroque de la créatrice, COCO MADEMOISELLE illustre son génie... celui de n’avoir jamais considéré que tout était acquis, détermination extrême qui lui a permis de toujours s’inscrire avec force et élégance dans son époque.

Incarnation moderne de l’esprit de Gabrielle Chanel, COCO MADEMOISELLE affiche une sensualité lumineuse, expression troublante d’une séduction résolument contemporaine. Subtile alchimie qui met en scène la farouche indépendance d’une femme sexy, quelque peu provocante, dont la personnalité fascine les hommes.

Ce parfum, Jacques Polge, son créateur en parle mieux que quiconque : "En notes de tête, je me suis éloigné des notes classiques citronnées de l'envolée hespéridée de COCO pour ne garder que la fraîcheur, mais une fraîcheur plus abstraite. En coeur, la rose de COCO était une rose de miel, celle de COCO MADEMOISELLE est une rose fraîche, une rose du matin. Les notes de fond exprimaient une féminité sensuelle et voluptueuse, j'ai privilégié un charme décontracté et sexy, moins nocturne, avec un zeste de masculinité".

Disponibles
Ligne de parfums : extrait de parfum, eau de parfum et eau de toilette
Ligne pour le bain et le corps

Saturday, December 24, 2005

Placebo


Placebo, j’aurais tant de chose à dire sur ce groupe peu être parce qu’il fait partie de ma vie depuis un bon bout de temps déjà ou peut-être parce qu‘il a bouleversé mes goûts et mes choix en matière de musique …
Placebo c’est trois personnes d’origines différentes réunis par le plus grands des hasard : Brian Molko (le chanteur), Stefan Olsdal (le bassiste principalement) et Steve Hewitt.
Un groupe, qui en choquant par un chanteur androgyne et charismatique, maquillé jusqu'au bout des ongles, ayant une vision plutôt noire de la vie, à réussi à s’installer dans l’univers rock. Un groupe très dur et sombre à ses débuts qui s''est adouci avec les années...

Placebo c’est la mélancolie, c’est la dureté de la vie, c’est du rock, du bon, celui que j’aime plus que les autres. C’est aussi un groupe qui a une vision de la vie juste, un gout pour la déconne, la fête mais aussi pour la bonne écriture, de celle qui marque, qui te prends au tripes ! C’est le seul groupe qui sait me touché et me surprendre de cette intensité là. La voix de Brian : une voix qui me boulverse, me transperce et m'emmeène loin de tout. Il a laissé ses traces …

« Érotique, littéraire mais conditionné, le rock écorché de Placebo est un larsen salutaire au bout du tunnel, un crayon de soleil pour dessiner sous la pluie. «
Voila une phrase d’un journaliste qui a parfaitement su décrire l’univers du groupe en quelques lignes : just perfect ! ( source : Biographie de placebo : Des cadences et des maux, par sebastien Michaud)

Placebo c’est quatre albums, une compile de tout leurs singles, deux DVD et quelque livres divers dont une biographie que je possède, comme tout le reste en fait.
Tous les albums m’enivrent et ne me lasserons jamais. Ils sont de ceux qui n’ont pas d’âges, de ceux qui ne vieillissent jamais. Tu peu réécouter leurs premier album qui a déjà entamé sa dixième année et il est toujours aussi authentique, toujours aussi vrai et époustouflant. Le premier album a d’ailleurs été conçu dans cette optique la : que chacun ai l’impression que le groupe est là, dans ta chambre, en train de jouer : une merveille !

Seul album qui m'a un peu déçu, non pas dans son contenu, c’est un Sleeping with ghosts, le dernier en date. C’est un très bon album, comme ses précédent, mais il a connu une telle médiatisation, et soudain, Placebo est devenu semblable à ces groupes qui ont besoin de faire de la promo pour vendre.
Le trio vendait très bien sa musique jusqu’ici sans faire s'afficher partout, ce virage m'a un peu surpris, surtout d'eux qui se sont toujours dit anti machine à faire du fric.
Même leurs représentations ont pris une forme un peu trop sophistiqué et commerciale. Il est loin le temps ou leurs concerts n’étaient qu’une simple salle avec juste du bon rock, le reste n’avait pas d’importance, et putain c’que c’était bon !!
Comparez l’Olympia 2000 avec le concert à Bercy de 2003 : la différence est flagrante!

Le meilleurs album, pour moi, mais chacun à son propre avis la dessus, c’est Black Market Musik.
Hormis le morceau « rap » qui avait déclenché, à l’époque, toute une polémique de la part des fans, c’est un album que j’aime du début à la fin. Pas de préférence, des morceaux variés, que du bonheur pour les oreilles.
Un petit coup de cœur tout de même pour Passive Agressive et Blue American : deux morceaux à thèmes marquants, où les paroles touchantes s'entretissent avec les cordes glaciales des guitares et viennent chercher l'émotion au fond de chacun, les larmes sont dures à retenir...

Les deux autres albums sont également très beaux, je les aimes tous autant qu’ils sont, parce que chacun a sa particularité, son message à faire passer, tout en gardant toujours la couleur Placebo.
Mais nul ne connaît placebo s’il ne connaît au moins ces quatre albums..

A noter que le cinquième album est prévu pour le premier trimestre 2006. (pour le moment, les rumeurs pretendent que la sortie est prevue en mars, ça reste à confirmer...)
Apparemment, de ce que j’ai déjà pu lire, il est question d’un retour au sources. Donc, plus de sons électriques comme pour Sleeping With ghosts, juste de l’acoustique et des cordes pour accompagner des textes, qui j’en suis sure, ne nous décevrons pas ! Mais, le groupe promet tout de même l’étonnement…

Le rock : tout ce que j'aime. Un style dominant chez moi et je ne compte pas m'en détourner, rien n'est plus authentique à mes yeux, surtout en concerts.
Placebo en tête bien sur, mais je ne délaisse pas d’autres nombreux groupes également très talentueux, comme : Indochine, M, Franz Ferdinand, Louise attaque, Muse et bien d’autres encore…


(Cliquez pour agrandir)

Premier album éponyme : Placebo


Deuxième album : Without you I'm nothing


Troisième album : Black Market music


Quatrième album : Sleeping with ghosts



Liens (les plus importants parmis les nombreux sites) :
Site officiel : http://www.placeboworld.co.uk/
Site officiel français : http://www.xsofplacebo.net/
(NB : sur ce site français les photos sont protégées... la touche clavier "imprime écran" est très utilie lol)

Souvenir, souvenir...

Tout les ans, dans notre cher lycée Beau Jardin, à lieu un bal de fin d’année.
Désolé pour le retard qui n’est pas des moindres, mais je viens seulement de recevoir les photos, ce qui évoque en moi de multiples souvenirs.
Je me souviens encore de tout ces couples se créent ou s’embrassant autour de nous, des yeux doux de Mathilde pour Manu, des pleurs de Julie pour Jérémy ou encore de Diane serrant la main de son cher Fabien….
Le bal ressemblait quelque peu au conte de Cendrillon, garçons et filles tous mis sur leurs trente et un, tous plus beaux les uns que les autres, certains même revelait un part d'eux même que personne n'aurait pu soupçonner jusque là. Un semblant d'illusoire et de surréalisme.
La musique était variée, la fumé était quasi étouffante et deux groupes ce distinguaient très clairement : les uns dansant à ne plus s’arrêter à l’intérieur de la salle, les autres bavardant et commérant au dehors, que faisaient-ils ici ce soir la ? Je pense que la question gardera sa part de mystère encore très longtemps …
Une belle soirée ce bal, nous avions dansé toute la soirée avec des chaussures à talons, quand le bal pris fin, nous étions tous pieds nu dans rue sous un beau ciel étoilé.
Une soirée des plus magique aux allures de fêtes et de vacances. Je me souviens aussi que l‘éclairage était très minime mais que, cette nuit là, la lune était très belle et qu‘elle dominait de toute part…un très bon souvenir.
Voici deux photos de ce même jour, histoire d’immortaliser ce petit moment de parenthèse scolaire.

(cliquez sur les photos pour les agrandir)


De gauche à droite :
Mathilde, Celine, Emilie, moi,Elise, Julie et Vanessa



De même :
Vanessa, Elise, Emilie,moi et Julie

++ Je suis très contente pour toi Jérôme, tu le méritait, où que je sois, je serais toujours là pour toi...
+ Merci encore à vous deux zazou et mathilde pour cette folle escapade à Strasbourg, jvous aime les filles !

Tuesday, December 20, 2005

Un bout de moi

Oui, j’apprécie mes moments de mélancolies
Oui, j’envie les notes romantiques, poétiques et chic
Oui, j’adore être rêveuse, aller au pays des songes,
Oui, je coule dans ces deux la, même quand c’est pas le moment
Oui, je préfère me fier à mon intuition
Oui, je rêve du monde des fées
Oui, je me surprend à être barge et étonner les autres
Oui, je grandis de découvrir le monde et son peuple
Oui, je suis folle du noir et du rouge
Oui, je love Placebo et Brian Molko à la folie
Oui, je goûte trop de chocolat, avec des fraises, c'est toujours mieux
Oui, j’admire les parfums et les coquelicots
Oui, je me laisse aller au rythme des musiques
Oui, j’estime ces deux beautés : Paris et Londres
Oui, j’ aime tout faire à la dernière minute
Oui, je désire aimer,’être aimer et le montrer
Oui, j’ai besoin de mes moitiés, mes amis, qu’ils me rassurent
Oui, je regrette d’être si émotive, je suis poisson
Oui, je pense que j’ai un côté trop stressé au lycée
Oui, je sais aussi qu’à l’extérieur je suis plus cool
Oui, je clame mes choix, mes goûts
Oui, je dédaigne me fondre dans la foule, faire comme tout le monde
Oui, je blâme mon « sal » air hautain
Oui, je raffole du monde des paillettes
Oui, je m'estime comme étant simple, bien que parfois complexe
Oui, j’abomine le cliché des premières embrassades au ciné
Oui, je déteste la violence
Oui, je me fiche des ordres
Oui, je condamne les hypocrites pour raviver l’honnêteté
Oui, je néglige la richesse de ceux qui s’en ventent
Oui, j’ai en horreur qu’on me juge mal
Oui, je méprise les apparences
Oui, je répugne Shalimar de Guerlain
Oui, je garantis que tout ça c’est moi
Oui, j'affirme que la liste pourrait s’agrandir encore et encore...

Même si tout ça n’est pas visible aux yeux des autres, ne m‘en veuillez pas, j’y peu rien, je suis comme ça….
Et vous, vous en pensez quoi ?

+++ Merci encore à toi ma puce pour ce petit séjour bien sympathique.
++ Jeudi, direction Strasbourg en compagnie de deux folles que j’aime très fort.
+ Jérôme profite bien de ton cupidon, je pense à toi, passe à la maison quand tu rentres

Saturday, December 17, 2005

Une journée très ... papier cadeaux

Tout les ans, le dernier jour avant les vacances de noël, quelques personnes, amis qui sont avec moi en théâtre proposent de fêter les vacances en arrivant déguisé au lycée. Le thème varie chaque années. Inutile de préciser que ceux qui ont peur du ridicule, du « quand dira-t-on ? « n’y songent même pas. Moi, les autres ne perdant jamais une occasion pour rigoler et s’amuser du regard des autres avons proposé le thème de « papier cadeaux » pour cette année. L’an passé nous avions choisis le thème de sapin de noël. Une journée inoubliable !

Toutefois, cette année tout s’est fait dans la plus grande precipitation. Trop de cours, pas assez de temps, mais on ne s’est pas défilé, moi-même je me suis scotchée et emballée de boules, guirlandes et papiers de tout les côtés pendant l’heure d’anglais de complément, qui pris ce jour là des allures très festives. Se sont quelques heures que chacun gardera en mémoire pour longtemps, on a beaucoup rit, vraiment une très très belle journée. Impossible donc de ne pas en parler ici.


Faites vous plaisir dans les commentaires en clamant au ridicule, mais c’était le but, et puis, quitte à avoir l’air c** autant l’être jusqu’au bout comme je le dis toujours, non ?

Voici une photo d’Anne-Sophie, Diane et moi-même (trois grandes fan des visiteurs et tout le tralala, oyé oyé et compagnie) prise à la cantine.



L'année prochaine : les mères noël, à voir dans un an...

Mikhael et Jérôme


Lui (à droite) est un homme que j‘admire, un cœur en or sous des apparences de pierres mais qui grandit et s’améliore avec le temps, qui rêve de Madonna et de Farmer puis retombe dans l’enfance avec sa Dorothée; mais qui a la niac et le talent au bout des doigts

L’autre, (à gauche) un éternel enfant par moments qui vit au rythme des séries télé et de groupes bien carabinés, radin parfois mais sensible à la détresse de ses amis, se cherche et mène sa vie par l’étrange et me faire rire comme personne. Ils sont mes deux meilleurs amis, il y a des hauts et des bas, mais toujours je les aimes.

Liens :
blog de Mikhael : www.mikhael-blog.com/
blog de Jérôme : dushkucalling.blog.ca

Obsession dangereuse

Depuis quelque temps, je suis comme un vautour
Je vole et survole à la recherche d’amour
Mais rien à l’horizon
Manque d’affection, cumule de déceptions
Pas d’oxygène, aucunes vibrations
L’oiseau tourne en dérision, quelle en est la raison ?
Il parcours le bleu du ciel à la recherche d’émotions
Mais l’azur se transforme en noir profond
Ohh, quelles se ressemblent toutes ces saisons.

Depuis quelques mois, l’oiseau est redescendu,
Peu à peu un être est apparu
Mais le vautour à peur : blessures du passé
Il ne sait comment l’approcher
Terrifié, il préférerait l’oublier
Trop tard, l’amour est là, l’inonde
Le bonheur surgit, mais la réalité retombe
L’oxygène perdu est ici, sous ses yeux
Que doit-il faire avec cet être précieux ?

Depuis quelques semaines, il ne cesse d’y penser
Au point que des larmes viennent à couler
Fuir par crainte ?
Agir pour l’atteindre ?
Dans sa tête trop de questions
La perte d’amour sème la confusion
L'oiseau serait-il trop laid ou trop compliqué ?
Trop mature ou pas assez ?
Pourquoi d’amour est-il esseulé ?
Alors qu’il a tant de choses à donner
Qu’il a tant besoin d’aimer
Quel est la cause de cet exil ?

Réponds, toi qui occupe mon âme en péril et mon cœur si difficile….

Thursday, December 15, 2005

Roi de coeur

Pourquoi la vie n’est q’un leurre ?
Pourquoi change-t-elle si souvent de couleurs ?
Pourquoi mon âme a tant besoin de ta douceur ?
Emprunter un peu de ta chaleur
Compléter tes moments de froideurs
Partager tes sautes d’humeurs
Atténuer un peu mieux mes ardeurs
Calmer les battements de mon cœur
Qui s’accélèrent comme tout à l’heure
Mais me procurent un tel bonheur
Offre moi un peu de ta candeur
J'aimerais tant goûter à ta fraîcheur...

Sunday, December 11, 2005

Vers la porte de sortie....


Ce week-end fut une véritable course pour trouver une robe de soirée noire ( oui, c'est exigé ) pour la veillée de noël du lycée qui aura lieu mercredi soir.
J'ai parcouru toutes sortes de boutiques samedi après midi en espérant trouver ce que j'étais venue chercher, sans le moindre résultat convainquant.
Mais bénit soit celui qui décida de l'ouverture des magasins le dimanche pendant les semaines qui precèdent noel.
Nancy, la destination idéale pour trouver ce qu'il me fallait, j’y ai d’ailleurs croisé mon ptit Jérôme avec un morceau de sa famille. Je ne suis donc pas rentrée à la maison les mains vides, je suis soulagée. Je serai comme tous les autres, vêtue de noir.

J’écris cet article au son des douces mélodies de l’album de Nolwenn Leroy, j’ai enfin pu me l’offrir cet après midi, un vrai cadeau ! Le collector en plus, quel privilège...
Les photos du livret sont vraiment splendides, les paroles et le mélange des univers Leroy-Voulzy-Souchon donnent un résultat plus qu’époustouflant, je passe et repasse toutes les chansons depuis des heures déjà.
Je peux concevoir que l’on puisse ne pas aimer ce style de musique mais pas que l’on puisse dire que c’est mauvais, tout est très bien réussi. Du poétique, des couleurs froides et nostalgiques au tonalités gourmandes et généreuses comme j’aime, vraiment une merveille.
J'ai, par divers aspects, beaucoup de points communs avec Nolwenn. Je peu me montrer très enfantine et pleine de joies par moments, très mature (voir trop) et sombrer dans un blues profond par d’autres, tout comme elle. J'aime aussi la poésie, l’instinctif et me laisser aller à l’imaginaire. Son monde, son univers, le timbre de sa voix et son ressenti me ressemblent beaucoup, c’est pourquoi j’aime cet artiste. J‘admire son parcours, c‘est un très bon exemple à suivre.
(trois photos du livret que je vous laisse en avant goût)
Son site officiel: http://nolwenn-officiel.artistes.universalmusic.fr/

Next :
Sur le trajet, dans la voiture, j'ai prêté l’oreille à une conversation entre mes parents et ma grand mère. C'est une habitude chez moi, j'écoute toujours ce qui se passe aux alentours, même au volant d'une voiture.
Le sujet de la conversation concernait deux membres de ma famille, une mère et sa fille. Le sujet à mes yeux était plutôt surréaliste.
La fille, ayant bientôt atteint ses 20 ans, a, depuis quelques années mis un terme à ses études parmi les autres pour les poursuives, plus ou moins sérieusement, par correspondance. Tout ça pour fuir davantage la foule et les éventuelles critiques sur son physique, l’adolescente étant atteint d’un surpoids assez aigu.
Désormais elle vit au chevet de sa mère (son père étant décédé depuis quelque peu) et toutes deux vivent ainsi sans but.
Cette dernière, vit, selon elle, convenablement grâce aux dépenses généreuses que sa mère fait pour elle, et la mère, quant à elle, se réjouit de cette situation: ça lui évite la solitude.
Mais qu'est ce que c'est que ce genre de comportement ?
Comment une mère peut elle agir ainsi plutôt que de secouer sa file pour qu'elle avance dans la vie ?
D'un autre coté comment la fille peut elle supporter une telle situation, vivre et ne voir personne d'autre que sa mère. Pas d'amis, pas de petit amis, pas de permis, comment peut ont mener une vie aussi molle ?
La situation me paraissais tellement absurde, je ne suis pas restée calme très longtemps.
Je n'arrive pas à comprendre ce genre de raisonnement, moi qui réclame tant ma liberté.
J'aime être indépendante, me détacher au maximum de mes parents, partir comme bon me semble, ou je veux , comme je veux et mener ma vie à ma guise et par dessus tout me débrouiller SEULE.
Comment fera-t-elle s'il arrive malheur à sa seule attache ? Elle n'aura jamais appris à agir d'elle même, et quel choc de se retrouver d’un seul coup seule face à la dure réalité de la vie.
Chacun a sa propre conception de la vie mais tout de même, cela me laisse sans voix.

Saturday, December 10, 2005

Une chanson qui en dit long....

Le texte parle de lui même, lisez le vous comprendrez sans difficultés, moi elle me touche à chaque écoute. Certaines personnes, filles ou garçons, se reconnaitront peut-être....

( Par un souci de presentation, le texte n'est pas disposé en strophes, les majuscules correspondent donc à un début de vers, dans la réalité)

Je suis de celles

Tiens, qu’est-ce que tu fais là ? C’est moi, c’est Nathalie Quoi tu me reconnais pas? Mais si On était ensemble au lycée C’est vrai, j’ai changé J’ai des enfants, un mari Bah quoi, t’as l’air surpris J’étais pas destinée A une vie bien rangée J’étais perdue Mon mari m’a trouvée J’étais de celles Qui disent jamais non Les "Marie couche-toi là" Dont on oublie le nom J’étais pas la jolie Moi, j’étais sa copine Celle qu’on voit à peine Qu’on appelle machine J’avais deux ans de plus Peut-être deux ans de trop Et j’aimais les garçons Peut-être un peu trop Bien sûr, vous aviez eu Des dizaines de conquêtes Que personnes n’avaient vues Toujours pendant les fêtes Pour beaucoup d’entre vous Je suis la première fois De celles qui comptent Mais pas tant que ça Je n’étais pas de celles A qui l’on fait la cour Moi, j’étais de celles Qui sont déjà d’accord Vous veniez chez moi Mais dès le lendemain Vous refusiez en public De me tenir la main Quand vous m’embrassiez A l’abri des regards Je savais pourquoi Pour pas qu’on puisse nous voir Alors je fermais les yeux A m’en fendre les paupières Pendant que pour guetter Vous les gardiez ouverts Je me répétais : " faut pas que je m’attache " Vous vous pensiez : " il faut pas que ça se sache " Mais une fois dans mes bras Vos murmures essoufflés C’est à moi, rien qu’à moi Qu’ils étaient destinés Enlacée contre vous A respirer vos cheveux Je le sais, je l’affirme Vous m’aimiez un peu Certaines tombent amoureuses C’est pur, ça les élève Moi, je tombais amoureuse Comme on tombe d’une chaise Et gonflés de l’avoir fait Vous donniez conférence Une souris qu’on dissèque Mon corps pour la science Je nourrissais Vos blagues de caserne Que vous pensiez viriles Petits hommes des cavernes D’avoir pour moi, Un seul mot de tendresse Vous apparaissait Comme la pire des faiblesses Vous les fiers à bras Vous parliez en experts Oubliant qu’dans mes bras Vous faisiez moins les fiers Et les autres filles Perfides petites saintes M’auraient tondue les cheveux A une autre époque Celles qui ont l’habitude Qu’on les cajole Ignorent la solitude Que rien ne console.. Vous veniez chez moi Mais dès le lendemain Vous refusiez en public De me tenir la main.




" Les risques du métier ", album récompensé par les victoires de la musique.
L'univers de Bénabar, un univers toujours particulier d'un album à l'autre, agréable et poétique, trenscandant de vérité dans chacunes de ses chansons, un artiste que j'adore qui sait parfaitement jouer avec les mots de notre langue française comme personne.
Pour en savoir un peu plus sur l'art de Bénabar ( photos, musiques, paroles, bio...)
rendez vous sur : www.benabar.com


Tuesday, December 06, 2005

Here : news !

Ce week-end mon blog a subit quelques " interruptions momentanées " ce qui explique que tout les commentaires ont disparus, se sont envolés, on été effacé tout ce que vous voulez, il n’empêche que ça m’embête beaucoup car je ne peu plus les retrouver, dommage pour ceux qui en avaient laissé.

Sinon ce soir je suis allée voir une pièce de théâtre sur St Die de Boris Vian ( ne me demandez pas le titre de la pièce, ça fait 10 minutes que je cherche le planning des pièces joués à ST Diè cette saison, tout ce que je sais c’est que c’est un titre long, c’est tout ). C’était un vrai moment de détente, on a rit tout le long, on a beaucoup beaucoup rit même, y compris mes trois petites folles dans mon dos qui ne cessaient de glousser toutes les trente secondes (elles se reconnaîtront), une pièce tout simplement excellente. Une pièce captivante, drôle, qui est passé très très vite : pas le temps de s'ennuyer. ( «le petit matelot, cultisme lol ) C'était risible et burlesque jusquà l'étouffement, un bonheur ! Rien de mieux comme soirée la vieille d’un bac blanc de français.

Autre sujet qui me tient très à cœur en ce moment mais que je ne pourrais pas développer autant que je le souhaiterais ( révisons encore et toujours en ce moment) :
Le nouvel album de Nolwenn Leroy " Histoires naturelles ".
Évidement qui dit Nolwenn Leroy dit forcement tout de suite Star Ac, donc truc ringard et compagnie, pas du tout !
Vous la croyiez disparus pour toujours de notre petit monde de vedettes ? Et bien c’est raté ! Après un long break pour faire carrière aux Etats-Unis, continent où elle s’est fait remarquer lors de son premier album, la revoilà avec un véritable petit bijoux composé par ses soins
( musique et paroles ).
Une collaboration signé Alain Souchon et Laurent Voulzy pour notre plus grand plaisir.
Une touche très personnelle de ces deux grands noms de la chanson française qui se fait ressentir tout du long par diverses tonalités que l‘on reconnaît dès les premières notes.
Un album frais, aérien, « aquatique « sur fond mélancolique que je conseille à tout le monde.
Un album aussi beaucoup plus pop que son précèdent ou Nolwenn aura pu laisser libre court à ses envies d‘écritures et de musiques, où elle aura pris plus de temps pour mener sa barque et nous offrir un present digne des plus grands et à son goût.
On y retrouve une voix alliant le lyric par endroits et la pop par d’autres. Des textes engagés ou plus libertins qui font de cet album un tout qui corresponds parfaitement à l'univers de la chanteuse.

On peut ajouter également qu’elle n’a rien laissé au hasard. Juger vous même par le design de la pochette de l’album….
Personnellement je la trouve vraiment très belle, les couleurs sont jolies, le tout est très bien harmonisé, elle colle parfaitement à l’univers de la composition.

+ Ton attitude de ce midi m'a surpris, si tu étais plus clair peu être que j'agirais plus ( même si tout ce que tu m'a dit m'a vraiment touché) mais tu es tout simplement " flou " avec moi.


Mon chat, ma petite bête : Venesis.

Ça c’est la petite bête qui me tient compagnie.
La petite bête qui fait office de réveil
quand sa maîtresse c’est gentiment rendormie au matin.
Cette petite bête dont je suis très fière.
Pelage blanc neige soyeux, reflets chocolat par endroits
et yeux bleus océan tout ronds tout ronds.
Venesis, le Duc, Venesipsous et tout les autres noms que mes amis
peuvent lui attribuer lors de nos nuits blanches dont il est toujours témoin.
Il est toujours là dans les pires moments comme dans les bons.
Accompagne mes nuits et s’endors sur ma tête le soir au point de m’étouffer.
Cette petite bête m’aime et me le montre bien.
Une tendresse qu’on se rends chaque jours mutuellement.
Il me témoigne de son amour par tous les moyens possibles et réclame sa dose de câlins je ne sais combien de foi par jours,
en particulier le soir quand il se retrouve seul avec moi.
Il sait se faire remarquer soit par ses ronronnements accompagnés de mouvements de pattes que font les chatons avec leurs mères, ou soit par ses cris poussés dans toute la maison quand il est en manque d’affection.
Ça c'est ma petite bête, mon trésor, c’est Venesis.
Je t’aime mon chat.

Love at first sight

Dans ma vie deux hommes ont vraiment compté, deux uniques hommes que j’ai vraiment aimé.
J’aime ou j’aime pas mais quand j’aime c'est pas’à moitié, c’est du cent pour cent.
J’ai besoin de beaucoup d’amour parce que j’en donne aussi beaucoup, seulement, je l’offre à très peu de personnes.

Tout à commencer le 03 Août. Ce jour là, un petit Ardennais vennait rendre visite à ma famille. Il a suffit d’un regard pour que mon cœur comprenne ce que veulent dire les mots aimer et coup de foudre. Lui : 1 an à mes côtés et 2 ans dans mon coeur. Un an de bonheur, d’amour, d’habitudes,de moments inoubliables et d‘engueulades aussi qui m‘ont fait grandir. Une période où j’aurais tout donné, jusqu’à ma propre vie, ou j’étais prête à tout et n’importe quoi, même les choses les plus folles et tout ça pour un être, une personne qui, à mes yeux, comptait plus que tout. Je ne donnerais pas son nom ici bien que bons nombres de personnes savent combien il était cher à mes yeux. Je l’ai vraiment aimé au sens le plus stricte du terme, un amour de passion, de feux et de dévouement. Je ne fesait qu'y penser. Son odeur, ses habitudes, son corps, ses mots bref lui, lui et que lui..

La séparation fut une véritable déchirure. Dépressions après dépressions, pleures après pleures, jours et nuits, mois après mois, impossible de l’oublier et de stopper l‘hémorragie. Quelque part cette rupture a brisé quelque chose en moi mais elle m’aura rendu plus forte. Le 12 février exactement la rupture aura atteint 1 an et je m’en remet seulement. Il a fallu tout ce temps pour cesser de souffrir, cesser de pleurer, d’y penser jours et nuits. Cesser de se remémorer nos souvenirs à chaque objets touchés, à chaque objets vu au point que sa en devienne invivable. Aujourd’hui il refait sa vie. Je préfère avoir le moins possible de ses nouvelles et de contacts avec lui, même si c’est dur, une façon de me protéger de la douleur qui pourrait resurgir à tout moments. Il ne me quittera jamais totalement c‘est certain,et je ne pense pas non plus que mon cœur parviendra un jour à couper ce lien qui me lie à lui malgré tout mes efforts.

Sa dernière visite , neuf mois après, m’a fait très mal, un mal que je pourrais facilement comparer à notre séparation mais cela m’a permis de me rendre compte de la réalité et de me détacher encore un peu plus de lui, il m’a beaucoup déçu. Je ne sais pas s’il se rendait compte qu’il me fesait du mal et que j'était encore trop attaché à lui, ou s’il faisait semblant de ne pas comprendre.
Il n‘était plus le même, sa m‘a surpris et je le regrette. C’est un mal pour un bien, c‘est comme ça. Aujourd’hui j’ai peur de l’amour, j’ai peur d’aimer, de ses conséquences, peur de la rupture et de ces deux mots « je t’aime « que je n’ai pas prononcé depuis. Je lui souhaites d’être heureux de la où il est.

Et puis il y a eu Julien, rien à voir avec le précédent.
Un tout petit être aux yeux bleus qui vous transperce l’âme.
Un petit bonhomme plein de savoir.
Je suis resté très peu de temps avec lui
mais c’est le seul qui en si peu de temps m’a appris autant
Je ne tombe pas amoureuse facilement mais lui c’était l’exception à la règle.
De l’amour comme on en fait plus.
Un amour de folie, de vitesse et de maturité.
Un amour comme ça parce que c'est de cet amour la dont j'ai besoin.
Quelque chose d'intense et de fort tout de suite.
je regrette qu’il soit parti de ma vie aussi vite qu’il y était entré.
Je préfère ne pas en dire plus à son sujet, le reste est en moi.
Je lui dédicace une partie de cette article, c’est grâce à lui que je ne vois plus l’amour de la même façon et qu’une partie de moi à changé.
je t’en remercie.




Deux photos de Julien et moi.
L’une prise au cinéma le jour de notre rencontre,
l’autre d’un vendredi soir, à la maison ( il fesait chaud lol ) .

Wicker Park

Tout est parti d'une étude de film en anglais de complément, on a fini par découvrir un chef d'oeuvre.
Ce film est tout simplement magnifique, prenant et superbement réussi dans sa globalité. Bande originale déchirante, casting de choix, structure de film très réussi et histoire vous tenant en haleine jusqu'à la dernière minute.
Un thriller passionnel, un suspense insoutenable qualifient parfaitement cette réalisation que j'ai acheter très vite, comme tout ceux qui l'ont vu avec moi en fait.
Un résumé de l'histoire est quasi impossible à faire, les personnages ont de multiples rôles, les flash back se multiplient et dévoiler l'histoire ruinerait l’intrigue et le mystère qui se tient jusqu’à la fin, pour ceux qui projette de le voir biensur.
En tout cas je vous le recommande très vivement, c'est un merveilleux moment à passer, les larmes de joie mêlées à la tristesse coulent d'elles même à la fin. Ce film témoigne d'une sublime histoire d'amour rendue pourtant si compliquée par la jalousie qui s‘y ai opposé.
Je n’en dirais pas plus, découvrez le par vous-même, de préférence en anglais c’est beaucoup mieux, abuser des sous titres si c’est nécessaire mais le regarder en français, à mon goût, gâcherais toute la beauté de ce film…
Un conseil : sortez les mouchoirs en fin de film, personnellement mes larmes coulent toutes seules à ne plus s'arreter à chaque fois !
La bande originale du film est également disponible, toute aussi brillante et representative de l'opus.

++ « Par ici la monnaie « Diane, que de bons fous rire, je t’adore !
+ Je ne sais pas comment m'y prendre avec toi, ça me fait si mal.....






D'une bulle .... enfin du lycée

Alors c'est un peu particulier, mais pour une foi je vous écrit du lycée.
Oui ma prof d'allemand n'est pas la ( ouf, c'était presque inespéré ) et je me retrouve seule…ou presque au cdi au milieu de magasines, ordi douteux et livres dispercés par ci par là sur les étagères !
Rien de mieux a faire à cette heure ci que d'écrire un article.
Pas de devoirs, pas de profs, une réunion qui s'annonce je crois q'on ne pourrait pas faire pire. Ah si, un bac blanc prévu pour la semaine prochaine autrement dit une disserte que tout le monde risque fort de planter étant donné le peu de pédagogie que l'on a acquis en cours à ce sujet.
Je le sens mal, en fait je sens tout mal et le pire c'est de ce dire que même les vacances n'arrangeront pas la situation parce que, d'une j'ai encore un bac blanc à la rentrée donc vacances rimeront avec révisons malgré moi et de deux se ne sont pas des vacances qui pourront me donner un petit coup de pouce question petit ami, cette pause ne sera donc pas trop bénéfique, enfin je ne croit pas !
Mais je pourrais toujours m'imaginer que tout vient au moment où on s'y attends le moins et que l'espoir fait vivre !
Il fait bon rêver, que les intéressés se manifestent !

++ J'ai fait " mumuse " hier soir avec le nouvel appareil photo numérique de mes parents, j'ai pris des photos de tout et rien, ça donne ça...
+ Les Encouragements du conseil de classe, ça remotive tout ça !!


La boucle

Et voila, encore une semaine qui est sur le point de s'achever, une semaine ou rien n'aura changer.
Heure du matin, heure du soir bref heures de toujours.
On dit souvent que les jours passent mais ne se ressemblent pas, et bien non !
La vie de lycéen est une boucle infinie où les heures découlent, découlent quand arrive le soir ou l'on se dit que rien n'a changé par rapport à la veille.

Toi par exemple, j'arrive le lundi en espérant une avancée, je repars le vendredi sans que rien n'ai changé (certaines personnes sauront de quoi je parle).
La vie d'adolescent et dure est impitoyable. On est a mis chemin entre le bon enfantin et la vie d'adulte qu'il faut débuter. Mais moi je ne veux pas de cette vie, de se mélange ridicule et déchirant, c'est trop lourd, trop pesant, faire semblant d'aimer son prochain en lui souriant bêtement parce que la règle scolaire le veux comme ça et que c‘est mieux pour tout le monde.
Sans parler des parents où rien ne va plus, où les avis divergent, où les conflis s’entremelent et où la réalité reprends le dessus comme une balle que tu reçois en pleine gueule, (excuser du terme).
Traduction : si tu veus quelque chose il faudra te débrouiller seule, toute seule ! Oui les jours passent, les mois, les années passent mais se ressemblent à peu de choses près du moins d’un point de vue scolaire.
Puis quand l'étape lycée sera terminée alors la vie pourra peut être réellement commencer.

De mon coté se sera Paris au bras de mes amis dont je ne veux pas me séparer, mais en attendant j'ai la sensation désagréable d'être en mode pause ou dans une pseudo bulle qu'il m'est impossible de changer parce que c'est ça le lycée et c’est sa que de vouloir avoir un diplôme pour devenir plus fort pour la suite des événements.
Je voudrais qu'il en soit autrement, que tout le monde tchatche et arrête cette espèce de compétition ridicule de notes et de devoirs en prétextant tout bêtement que l'on n'y peut rien et que c'est comme ça !Toute personne peut changer, du moment qu'elle l'a décidé.
Que dire aussi de toutes ces personnes que l’on voit bosser jours et nuits sur leurs devoirs et uniquement sur leurs devoirs sans construire leurs vie hors lycée, leurs vies d’après ? C’est tellement dommage et tellement pitoyable de les voirs comme ça et de voir qu’elles sont persuadées que c’est ainsi qu’il faut agir « en bon élève « et que c‘est elles qui ont raison !
Alors d’accord elles ont de bonnes notes, réussissent leurs parcours scolaires haut la main, mais qu’ont-elles à coté ? Rien, une vie fade, terne sans couleurs ( a part celle de leurs classeurs ) mais où sont les joies, les peines, les événements qui nous font mûrir et qui font de nous ce que nous sommes ?
Et puis ces élèves, ces têtes que l’on croisent tous les jours, que l’on supporte à peine voir plus du tout par moments et dans certains cours, qu’il est impossible d’éviter parce qu’il a fallu que cette chère et tendre méprisée s’installe en face de toi !
Tout ça m’est insupportable à la longue mais je ne peux rien y faire ( le beau et le damné, hello Mr Garcia )
Parfois l’idée me viens de tout balancer, de tout claquer et de partir, loin très loin, mais il faut être rationnel et puis des choses, des personnes me manquerait de trop après coup et puis c’est la vie qui veut ça, je me dis que c’est le prix a payer pour être plus tranquille plus tard et que j’aurais tout le luxe pendant le restant de mes jours de maudire ces personnes de la où je serais …..
J'ai hâte d'être partie pour que tout ça soit fini, j'étouffe !

++ Tu me rends dingue et je suis sur que tu t’en doute.
+ Photo du nouvel album de Benabar qui a ce don si particulier de scruter et d’analyser tout les petits détails d’une vie d’être humain, c’est si agréable, drôle et reposant….on en redemande, jme le passe en boucle et je vous le conseil.




Eux, mes petites moitiées

Beaucoup de gens partagent ma vie au quotidien
D’une quelconque façon ils sont dans mon cœur,
Mais eux s’y sont installés et ont su se démarquer et me toucher.
Eux se sont mes plus cher amis,
Ceux qui n’ont pas de prix,
Ceux qui partage ma vie,
Qui l’embellisse ainsi.
Eux, ils partagent mes hauts et mes bas,
Tout comme mes moments de joies et de peines aussi parfois.
Eux, c’est Mickhael, Jérôme, Julie, Mathilde et Maria.
Je vous aime, tous à la fois, même si par moment je suis comme si comme ça.
Mes flirts passagers eux ne font que passer,
Vous dans mon cœur vous restez et le réchauffez,
J’espère vous garder encore longtemps à mes côtés,
Pourquoi pas un appart à paris plus tard partager,
Je vous aime mes petites moitiés.



Vous aurez remarqué au préalable que
j'ai massivement tenté de mettre
des photos à peu près potables de nous....
c'est pas toujours réussi certe mais
j'aurais pu faire largement pire vu mes
archives (" et ils le savent "), mais à mes yeux
ces personnes restent belles et c'est l'essentiel.


Jme présente je m'appelle Henri.... non Elodie


Voila une première photo de moi pour inaugurer ce blog.
Pas très commun de se prendre en photo dans un miroir avec son portable me direz vous. Pour la petite précision, non ce n'est pas " une robe de soirée " comme dirait l'autre mais seulement un merveilleux jour d'été qui m'a donné envie de porter ceci, ni plus ni moins.
(voir M show dans ses heures perdues, ou plutôt ses cours perdus)


Je suis là

Sur mon lit, j’attends, je suis là
Espérant un de tes appels qui n’arrivera sûrement pas
Mes sentiments toujours présents
Les tiens se sont envolés au vent.
De mes larmes je transperce le papier
Sur une musique qui n’est plus réchauffée
Elle pleure, se déchire, comme celle qui l’écoute
Mon cœur à son tour se rempli de doutes
Commence à percevoir le prix qu’il en coûte
De laisser son cœur ainsi s’étendre
A un beau jeune homme pouvant y prétendre
De l’amour je n’en ferais pas encore ma gloire
Je me remplirais plutôt de désespoir
D’autre de l’amour espèrent encore la fortune
Mais au bout du chemin ils y trouvèrent l’amertume

Sur ce lit, j’attends, je suis là
Quel sera celui qui m’opérera ?
Ce cœur, le mien, aura lutté tant de fois
Pour qu’aujourd’hui la faille se rouvre à travers toi
Mais cette fois je suis las de tout ça
Mon âme dit stop, mon cœur je t’aime
A toi qui n’pensera jamais plus “ the same “
C’est une détresse, un appel au secours
Pour un chemin qui mène à un non retour
Cette musique qui m’accompagne, dans cette descente infinie
Elle prendra sans doute fin un vendredi
Mes sentiments ont évolué et non les tiens
Je m’en veux, ils auront encore voyagés demain

Sur le lit, j’attends, je suis là
Va savoir qui sera là demain
Mes autres moitiés, ça c’est certain
Eux comme moi on ne sera jamais loin
Ils m’écouteront, toi je ne sais point
De mes larmes je trempe le papier, il me sert d’interprète
Il partage mes conquêtes et mes pertes
Comme à chaque fois, mes joies, mes peines et mes découvertes
Sur ce lit, j’attends, je ne serais plus là
je suis partie ailleurs, consumer ma peine à qui m’aidera
Décroche le téléphone, tu l’entendra, c’est moi....


Ce poème, je l'ai écrit très vite, tout comme notre histoire.....